Ce qui est sur la table sont des accusations d'actes répréhensibles du directeur de publication de Fact and Furious, A. Daoust, sur sa femme (e.g., violences conjugales) et d'autres accusations qui n'ont rien à voir avec Fact and Furious (e.g., fabrication de faux résultats PCR ou ordonnances), qu'il nie et qui seront réglées par la justice si elles s'avèrent vraies, ainsi qu'une situation financière personnelle difficile. Ce qui est prétendu ici (et
ici), un complot des médias contre eux, est une fabrication, soutenue par à peu près rien. Par exemple, les accusations de complotisme dans la page Wikipédia de Bercoff datent d'avant la création de Fact and Furious (e.g.,
en juin 2018 sur la base d'un article du Monde, et
en avril 2021 mais sourcé d'un
article francetvinfo de début décembre 2020). Les médias ne tournent pas autour de la complosphère, et
les actes rééls ou non d'A. Daoust dans la sphère privée n'annulent pas les bêtises Raoultiennes et Aberkaniennes révélées sur Fact and Furious. Par ailleurs, l'histoire semble puer pas mal du coté de
France Soir qui aurait fait du chantage à A. Daoust pour racheter son site...
"Je sais arrêter ce genre de choses" aurait dit Azalbert, directeur de France Soir, au milieu de cette affaire...